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Nouvelle sélection de jeux mobile : Ctulhu Virtual Pet, Card Thief et Sword of Xolan

Chers amis lecteurs, je vous connais. C’est toujours difficile d’occuper ces temps morts du quotidien, que ce soit dans la salle d’attente du médecin ou sous un arrêt de bus. Je sais. Et lorsqu’on a pas l’envie, ou le temps de lire, c’est bien trop souvent le smartphone que l’on tripote sans trop y penser, avec l’air sérieux de quelqu’un qui est absorbé par une tâche importante. Et dans ces moments-là, on passe bien souvent son temps sur les réseaux sociaux. Vous avez envie de faire autre chose que de considérer les formes retouchées des instagrammeuses, ou de regarder une énième vidéo de chat sur Tik tok? Laissez-moi vous proposer quelques applications à télécharger (ou pas) sur l’App Store, pour changer. Faites-moi confiance.

Logo du jeu

Ctulhu Virtual Pet est un jeu de simulation d’animal de compagnie virtuel, édité par Neurocreativa. Il est noté 4.5 étoiles sur l’App Store Google, pour 37 101 joueurs. Le jeu propose des graphismes en pixel-art et d’inspiration rétro, pour un rendu plutôt sympa. Petit bémol, le manque de variété dans la bande son devient rapidement répétitif.

Qui n’a jamais rêvé de trimballer un Ancien dans sa poche? Inspiré (c’est la mode!) de l’univers de H.P. Lovecraft, Ctulhu Virtual Pet vous propose de nourrir, réconforter et torcher le cul de la déité cosmique la plus célèbre de l’univers de l’auteur, pour espérer le faire évoluer de niveau en niveau! Vous disposerez de dix témoins qui servent à maintenir Ctulhu en vie, et qu’il n’hésitera pas à dévorer s’il se sent un petit creux (vous pourrez les ressusciter, mais cela vous coûtera 100 pièces d’or). Pour le reste, votre rôle consistera à donner à manger des êtres humains à votre Ancien s’il a faim, lui permettre de détruire des villes ou couler des paquebots s’il a besoin de se distraire, ou encore de lui administrer une piquouze d’on-ne-sait quoi s’il tombe malade, tout en n’oubliant pas de nettoyer ses déjections cosmiques si toutefois il s’oublie par terre! Chaque action vous coûtera de l’argent, récupérable en jouant à des mini-jeux.

Interface

Même si l’idée du jeu est plutôt amusante à la base, on fait (très) vite le tour de Ctulhu Virtual Pet. Les soins prodigués à Ctulhu deviennent redondants au bout de quelques connexions, et personnellement je me suis vite lassée des mini-jeux : récolter de l’argent en y jouant devient rapidement une corvée. Bref, sitôt installé, sitôt désinstallé! Mais finalement, pouvait-on s’attendre à autre chose d’un Tamagotchi-like?

Card Thief

Card Thief est un jeu de cartes/réflexion développé par Arnold Rauers, du studio Tinytouchtales. Il est noté 4.2/5 sur l’App Store pour 23 140 avis. Le design et l’univers du jeu sont très fortement inspirés du titre éponyme développé par Looking Glass Studio et sorti en 1998.

Dans ce jeu, vous incarnez un voleur qui doit s’emparer du trésor que contiennent les quatre donjons déblocables au fil de la progression. Pour cela, il devra avancer sur un plateau comptant neuf cartes, et planifier ses mouvements en fonction de ces dernières afin de ne pas se faire capturer. Au début de la partie, le voleur compte dix points de progression, et pourra rencontrer différents types de cartes, outre le trésor : des bonus, des gardes (qui constitueront un malus aux points de progression mais rapporteront de l’or), des chiens de garde et autres chouettes sur le qui-vive (qui augmentent le coût des cartes adjacentes), des pièges (que l’on pourra désamorcer si l’on compte assez de points, sinon ils augmenteront le coût des cartes adjacentes eux aussi), un tonneau (qui permettra de recharger ses points de progression pour en compter de nouveau 10), des torches (qui coûteront des points pour les éteindre), et des unités spéciales comme des gardes armés de torches ou comptant deux têtes. A savoir, la difficulté augmente lorsque les cartes sont plongées dans la lumière.
Le but du jeu? Aller au bout du deck de cartes, en ayant volé le trésor, un maximum d’or au passage et ce sans se faire capturer.

Vous disposerez de cartes-bonus qui seront déblocables au fur et à mesure des parties, au moyen de défis à accomplir. Par ailleurs, une partie spéciale est disponible par jour, et des jeux où vous incarnerez d’autres personnages aux capacités différentes se débloquent après l’ouverture de vingt coffres.

Card Thief est un bon jeu, qui demande un minimum de réflexion et compte un bon potentiel de rejouabilité. J’ai personnellement apprécié ce titre pour sa direction artistique : les musiques et l’ambiance sonore sont travaillées, l’interface est joliment animée, et les graphismes sont appréciables. L’hommage au jeu Thief est tout à fait évident, mais réussi à mes yeux !

Sword of Xolan est un jeu d’action-plateforme développé par Alper Sarikaya. Il est noté 4.4/5 sur l’App Store par 72 259 joueurs, et 16/20 par jeuxvideo.com. Dans un style résolument rétro gaming tout en pixel art, le studio nous propose une jolie madeleine de Proust, dans la lignée des vieux Mario, Golden Axe ou encore Ghouls n Ghosts.

Dans un ancien royaume inconnu, les terres sont dévastées par le terrible magicien noir Zorbandar. Les villageois sont kidnappés les uns après les autres et leurs maisons se dépeuplent. Le plus grand mage de la cour est envoyé pour tenter de faire mordre la poussière à ce terrible ennemi, mais il est battu sans difficulté. Tout espoir est perdu… Jusqu’à l’arrivée du héros ! Il s’appelle Xolan, il a une grosse épée, une barbe et des cheveux de jais. Et c’est à lui que revient la lourde tâche de ramener la paix et la quiétude dans les terres de son royaume.

Et c’est ainsi que démarre le jeu, sans autre forme de procès. En bon héritier de ces jeux typiques de la NES ou Megadrive, on ne s’embarrassera pas plus longtemps avec un quelconque scénario. Place au jeu!

L’écran titre vous propose notamment un mode aventure et un mode challenge, ainsi qu’un set de cartes vous permettant de bénéficier de bonus in game, à débloquer en payant 1500 pièces l’unité. Le reste du jeu ne diffère pas d’une plateforme classique à la Ghouls n Ghosts. Alper Sarikaya fait le pari de la nostalgie pour accrocher le joueur, et ça marche plutôt bien : la difficulté étant correctement dosée, on ne se lasse pas du jeu avant la fin du fait d’une trop grande facilité.

Au fil des niveaux, Xolan devra donc se battre contre un bestiaire sans grande originalité bien qu’étant belliqueux (zombies, guerriers ennemis, araignées et guêpes géantes, monstres aux projectiles divers…). Il dispose de son épée, de la capacité de faire des double-sauts mais aussi d’un sort de boule de feu qu’il pourra utiliser trois fois au moyen de points de mana rechargeables aléatoirement par des fioles. Le guerrier les ramassera au fil de la progression, avec de quoi remplir sa bourse et se régénérer. Sa jauge de vie compte trois cœurs, il peut donc encaisser trois coups avant de mourir. Le joueur devra alors recommencer le niveau au début.

La possibilité d’attaquer à la fois au corps à corps et à distance permet de varier les approches selon les ennemis, rendant l’évolution dans l’architecture des niveaux appréciable. La richesse du level design rendrait presque les combats contre les boss monotones… L’aventure compte une trentaine de niveaux découpés en trois actes terminés par un boss. Chaque niveau comptera un coffre et trois villageois à libérer, cachés au fin fond de zones secrètes…

Sword of Xolan est, je dois le dire, mon préféré de cette sélection! Globalement, le level design est à saluer : par sa diversité, il apporte de nouveaux défis à relever à chaque niveau, donnant au gameplay une saveur de die and retry qui plaira aux masochistes amateurs du genre. La difficulté correctement dosée va crescendo avec la progression, et tiendra les nostalgiques en haleine pendant cinq à sept heures de jeu. Sword of Xolan n’est pas le genre de jeu qu’on recommence à l’infini, mais c’est assurément un titre développé par des amoureux du jeu vidéo, et qui mérite qu’on s’y attarde pour peu qu’on aime les puzzles, les grosses épées et les vilains monstres.

Voilà pour aujourd’hui, chers amis lecteurs. En espérant vous avoir rendu les files d’attente et autres quais de gare plus vivables,
A bientôt pour de nouvelles aventures,

Vidéoludiquement vôtre,

Fabre

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Sélection de jeux mobile : Pixel Dungeon et Grim Quest

Etes-vous plutôt console ou PC ? La question fait aujourd’hui l’identité d’un gamer, et est symptomatique de l’histoire du jeu vidéo, toute en innovation technologique associée à l’inventivité de ses grands noms. De la console Odyssey à la Playstation en passant par les divers ordinateurs et les consoles portables, notre loisir préféré est devenu tout-terrain, s’adaptant au temps libre et aux goûts de chacun. D’ailleurs, avec le temps et le développement technologique de nos téléphones, il faut bien le dire, le smartphone est devenu un support vidéoludique à part entière. Beaucoup de studios proposent des versions smartphone de leurs jeux, et le développement y est rentable tant le nombre de consommateurs d’applications est grand. Cependant, beaucoup de titres restent soit peu intéressants, soit envahis de publicités diverses qui nuisent à l’expérience de jeu. Où se tourner pour trouver des jeux qui valent le coup d’y passer un peu de temps? Pas de problème ! Laissez-moi vous parler de mes petites découvertes sur le Play Store Google…

Bannière de la version originale du jeu

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The Nightstalker RPG

  • Le jeu de rôles où des démons s’allient aux anges pour lutter contre Lucifer…

The Nightstalker est un jeu de rôle issu du metal. C’est un projet étendu entre jeu de rôles, littérature et metal, créé par Steve Fabry de Sercati. Le groupe de black metal a été fondé en 2009 à Pepinster, commune francophone de Belgique, en région wallonne dans la province de Liège par le bassiste et chanteur Steve Fabry, le guitariste Lucas Maiorani et le batteur Yannick Martin.

Sercati a sorti trois albums dans l’univers du Nightstalker : Tales of the Fallen en 2011, The Rise of the Nightstalker (Tales of the Fallen Part 2) en 2014 et le dernier Devoted, Demons and Mavericks est sorti en 2018 via le label italien WormHoleDeath. Steve Fabry alias Serpent tire ainsi son inspiration des paroles des chansons de son autre groupe de black metal Sercati, de son groupe de dark ambiant/black metal gothique The Nightstalker, mais aussi de son roman Le journal du Nightstalker.

Dans le jeu, The Nightstalker rpg (role-playing game), les joueurs jouent des anges ou des démons dont certains ont renié leur allégeance à Lucifer, ou encore d’autres créatures spirituelles dans la guerre secrète entre le Paradis et l’Enfer pour laquelle le champ de bataille principal n’est autre que notre bonne vieille Terre.

La campagne ulule de financement participatif du jeu 👉 https://fr.ulule.com/the-nightstalker-rpg/ a rencontré un franc succès (345%) à l’automne 2020. Aussi, la chaîne YouTube de The Nightstalker 👉 https://www.youtube.com/channel/UCeL4jRqUP_c-mpOatP6NaJw s’est orientée sur le jeu de rôles avec des actuals play et des vidéos immersives. À l’issue d’un développement de son univers et d’un enregistrement de la bande originale, le jeu de rôles The Nightstalker RPG est sorti et désormais disponible à l’achat 👉 https://editionsstellamaris.blogspot.com/2021/01/the-nightstalker-rpg.html?

Magic Card or Metal Band ?

Fans de Metal et de Magic ? Alors vous devriez faire un sans faute au quizz qui suit dans la vidéo 👇

Magic: The Gathering (Magic : L’Assemblée) est un jeu de cartes à jouer et à collectionner, inventé en 1993 par l’américain Richard Garfield, professeur de mathématiques et concepteur de jeux. Au-delà du jeu, Magic a imaginé sa propre fiction dans une cohérence qui se déroule dans une multitude d’univers : le “multivers” se développe à chaque nouvelle extension lorsqu’un ensemble d’environ 300 cartes inédites complète alors le jeu multivers. Magic comprend déjà une centaine d’extensions qui traversent de nombreux plans ou univers. Il existe par exemple, un univers (ou un plan) égyptien Amonkhet, un univers (ou un plan) grec Theros, un univers hyper-urbanisé Ravinca, etc… Les extensions correspondent à des plans ou des univers qui traversent les cinq couleurs de magie : blanche, noire, rouge, bleue et verte ; chacune ayant ses spécificités. Theros est un plan inspiré de la mythologie grecque et Amonkhet, un plan inspiré de la mythologie égyptienne. Jeu de plateau à l’origine, Magic a été fidèlement adapté en version numérique sur PC. Il s’agit de Magic Arena.

Aussi, Wizards Of The Coast, la compagnie dont fait partie Magic: The Gathering sort aujourd’hui même, en ce jeudi 28 janvier 2021 une nouvelle extension de 285 cartes inédites. Kaldheim parcourt un univers jusqu’ici inexploré, inspiré des mythologies nordiques et scandinaves avec des dieux, des géants, des héros… Kaldheim embrasse ainsi le monde des vikings dans lequel les dieux sont mortels, à l’instar des dieux scandinaves. Dans Theros ou Amonkhet, les dieux sont immortels et indestructibles, à l’instar des dieux grecs et égyptiens. Certains personnages et créatures légendaires de Magic, les planswalkers (ou arpenteurs) ont la capacité de traverser des plans ou des univers, comme Kaya qui va de Ravinca, son plan d’origine, vers Kaldheim à la recherche d’un autre personnage Liliana. Il y a lien avéré entre l’histoire inventée par Magic et les capacités des cartes des personnages et des créatures qui font avancer l’histoire en perpétuel avancement de Magic.

La nouvelle extension de Magic: The Gathering, Kaldheim a été présentée lors du Kaldheim Fest où se produisait un groupe inédit pour des interludes heavy metal : Immersturm a été formé pour l’occasion en référence à l’un des dix royaumes de Kaldheim, autour de Yggdrasil, l’Arbre Monde. Le Kaldheim Fest a été diffusée en direct sur la chaîne YouTube de Magic, le jeudi 7 janvier 2021, soit trois semaines en amont de la sortie de l’extension Kaldheim. Depuis, la vidéo totalise 137 640 vues. De nouvelles cartes sont dévoilées dans la vidéo dans laquelle intervient entre-autre le responsable du marketing événementiel, Don Maddock, “Manager of Fun Times and Chaos“. Celui-ci introduit les groupes de metal ayant participé à la promotion de la nouvelle extension Magic. En effet, plusieurs groupes internationaux de metal, tels Angra le groupe brésilien de power metal progressif, Smoulder le groupe canadien de heavy/doom metal épique, Rhapsody Of Fire, le groupe italien de power metal symphonique, Oceans Of Slumber le groupe américain de rock/metal progressif, Amon Amarth le groupe suédois de death metal mélodique, Torche le groupe américain de stoner/sludge metal/rock et Mastodon américain de rock/metal progressif ont dévoilé chacun en avant-première une carte inédite de Kaldheim sur les réseaux sociaux.

📸 Amon Amarth au Knotfest/Hellfest 2019 par Jeremie Foucher pou Culture METAL 🤘
🎧 Playlist

Avec l’arrivée de l’extension Kaldheim, Magic Arena deviendra disponible sur les smartphones les plus récents et performants.

https://magic.wizards.com/fr

À vos decks ! Prêts ! Piochez !

Sabaton au Knotfest/Hellfest

Sabaton, le groupe de power metal suédois s’est produit au Knotfest le jeudi 20 juin 2019 (01h-02h) sur la MainStage 02 du Hellfest. Or, en dépit de l’extinction de voix du chanteur et tous encore présents sur le festival de l’Enfer le lendemain, les musiciens de Sabaton ont eu le mérite de remplacer au pied levé un groupe capricieux, absent, pourtant tête d’affiche de l’édition 2019 du Hellfest sur la MainStage 01 le vendredi 21 juin (23h10-0h40). Le groupe suédois a ainsi gagné le respect éternel des festivaliers français et étrangers du Hellfest. Lire la suite

Legend of Grimrock 1 : Hommage à un genre, le dungeon crawler (partie 1/2)

En l’an de grâce 1987, en des temps digitalement ancestraux naquit un cousin vidéoludique du jeu de plateau Dungeon & Dragons, qui fut le précurseur d’un genre quelque peu oublié de nos jours. Dungeon Master, tel était son nom, permettait d’incarner une équipée de héros perdus dans les dédales sombres d’un donjon hostile, avançant de case en case et de monstre en monstre pour déjouer les plans maléfiques d’un sorcier terrifiant. Le titre fut un grand succès commercial et donna naissance au dungeon crawler, dont l’âge d’or est quelque peu révolu aujourd’hui.

Si vous n’êtes pas amateur de JDR et de jets de dés old school, peut-être vous demanderez-vous pourquoi j’évoque une catégorie de jeux vidéos dont personne n’a grand-chose à foutre aujourd’hui. Mon très cher lecteur, c’est parce que ce style fut à l’origine de tout un tas d’innovations en termes de gameplay dont beaucoup de productions actuelles ne peuvent se passer, et que le dungeon crawler revient peu à peu sur le devant de la scène via les studios indépendants. Une nouvelle hype est elle sur le point d’arriver? Peut-être, car c’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes! Et je ne suis pas la seule à le penser, puisque c’est aussi le cas des développeurs de Legend of Grimrock. Les finnois ont en effet conçu leur réalisation comme un hommage à Dungeon Master, et ils ont réussi leur pari : nous offrir un titre aux inspirations totalement assumées, qui ne se bornera pas à ressembler à une vulgaire copie d’un jeu culte. Et pour changer, j’ai beaucoup de choses à vous raconter! Lire la suite

Le meilleur du jeu vidéo en 2018

En cette toute fin du mois de décembre 2018, nous vous livrons une série de reviews le meilleur de 2018 : il s’agit de nos coups de cœurs de l’année 2018 et nos attentes de l’année 2019, en terme de cinéma, musiques extrêmes, théâtre, arts, et littérature. Voici une review spéciale jeu vidéo qui a été écrite à deux mains : par Thomas, rédacteur et webmaster à Culture METAL, mais encore créateur et animateur d’une chaine YouTube, et par Fabre Minuit, rédactrice à Culture METAL et spécialiste du jeu vidéo dans la culture metal.

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Amnesia The Dark Descent : Achluophobie, amadou et sombres machinations lovecraftiennes

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« My name is Daniel, i live in london at… at… Mayfair. What have I done ? Don’t forget, don’t forget. I must stop him. Focus ! My name is… is… I am Daniel. » Lire la suite

Painkiller Black Edition : Prêts à dessouder l’armée de Satan sur du heavy metal?

 

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Painkiller, ou antalgique en anglais, est le titre d’une chanson de Judas Priest et Depeche Mode, mais pas uniquement. C’est aussi un chouette petit FPS tout droit venu de l’Est, développé par les polonais de People Can Fly. Sorti en 2004, il propose un mode solo et multijoueur avec son comptant de monstres à l’IA psychopathe et un gameplay bourrin bien comme il faut, le tout servi par un level design absolument délicieux. Lire la suite

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